Pretty much dead already • Josephyne

Pretty much dead already

Jo & Jack

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Une balle dans la poitrine puis plus rien. Le néant pour m'emporter, j'avais l'impression de naviguer sur un océan de noirceur, les yeux clos et une douleur insoutenable pour me maintenir dans cet état d'inconscience. J'ai pensé : c'est la fin Jack, ton heure est venue. J'y ai songé des heures entières, des journées entières, jusqu'à ce que mes paupières ne finissent par s'ouvrir et que la douleur s'affaiblisse. Mon erreur fut cependant de croire que des âmes charitables m'avaient sauvé la vie. Il n'en était rien. Jeté dans une cage à peine debout, torturé le lendemain pour divulguer des informations, même la plus futile, sur la prison, les Swans ne m'avaient pas sauvé. Oh que non ! Si je suis encore vivant à l'heure actuelle, c'est uniquement parce qu'ils espèrent me faire parler.

Ils perdent patience. Le regard glacial de ce type qui fait les cents pas sous mon nez depuis quelques heures ne ment pas. Si je n'ai pas parlé avant la fin de la semaine, ils me tueront cette fois-ci. "-Parles bordel de merde !" Qu'il hurle à plein poumons en me collant une gifle avec une telle violence qu'il aurait pu aisément me casser la mâchoire. Je serre les dents. Mon dernier souhait est de leur donner la satisfaction de me voir souffrir. Je ne céderai pas. Mes filles sont là-bas, ma femme aussi même si notre relation de ces derniers jours n'est pas au beau fixe, il est hors de question que je divulgue quoique ce soit qui pourrait mettre ma famille en danger. Je préfère mourir plutôt que de parler. "-Jamais." C'est tout ce que je lui répond et la torture reprend de plus bel. Le sang coule, je ne sais pas par quel miracle je ne hurle pas mais l'envie est là. Des dizaines de brûlures parcourent mon corps et je reste là, assit sur cette chaise à gesticuler dans tous les sens mais muet comme une tombe.

Puis ils m'attrapent et me traînent comme un sac jusqu'à ma cellule. La porte claque dans un vilain grincement et j'attends qu'ils se soient éloigné pour enfin exprimer ma douleur. Je me sens faible, épuisé, affamé car le peu de nourriture qu'ils m'apportent ne suffit pas à nourrir un homme. Ma survie est un miracle, non plutôt un sursis. Une peine qui prendra fin quand ils en auront marre de mon silence. Je n'ai pas peur de mourir, j'ai seulement peur d'abandonner ma famille, ce qu'il y a de plus important et de plus chez à mon cœur.

@Josephyne Hawkins

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@jack grimes + @josephyne hawkins

Cette curiosité allait à un moment ou un autre lui causer des problèmes, voir même la mort. Josephyne avait toujours eut cette fâcheuse habitude de foutre son nez où il ne fallait pas et aujourd'hui c'était loin d'être différent. Ce sentiment était présent chaque jour depuis qu'elle se trouvait à Monroe, cherchant une porte de sortie pour pouvoir fuir loin d'ici. Loin de ses bourreaux.

Comme à chaque matin, la jeune Hawkins allait porter Britany à l'école avant d'aller faire ses tâches d'entretiens obligatoires et assignées la veille. Étrangement, elle ne prit pas le chemin habituel pour se rendre à la place du conseil où elle devait aller faire une part de ménage, passant à la place près de l'arène. Son regard se posa sur celle-ci, se rappelant ces mauvais souvenir qui avaient marqués son arrivé chez les Black Swan, ravivant cette haine une nouvelle fois en elle. Mais alors qu'elle tenta de la contourner pour revenir sur sa route, des voix s'élevèrent à l'entrée de celle-ci, alertant la jeune brune. Rapidement elle alla se cacher, s'adossant à un mur tout en tendant l'oreille. S'ils la voyaient dans le coin, elle ne payait pas cher de sa vie. Josephyne écouta avec une très grande attention la discussion entre eux, apprenant qu'il y avait un prisonnier dans les cachots qui ne semblait pas prêt à parler, en se laissant malmener.

Les pas s'éloignant, la jeune femme regarda par-dessus son épaule pour voir s'ils étaient bien partie avant de sortir de sa cachette. C'est d'un pas méfiant qu'elle s'approcha tranquillement de la porte et l'ouvrit après avoir vérifié qu'elle était bien seule. Une fois à l'intérieur, Josephyne s'aventura dans l'arène jusqu'à l'endroit qui servait de prison et c'est là qu'elle le vit. En piteux état, soufrant face à ses blessures qui semblaient insupportable. Une main devant la bouche pour étouffer un cri de surprise, elle s'approcha doucement des barreaux, son regard ne pouvant se détacher de l'homme. Elle savait que les Swans étaient sans scrupule et étrangement cela vint la surprendre. "Sa-salut..." osa-t-elle d'un doux murmure, regardant par-dessus son épaule pour faire toujours certain qu'elle était bien seule, avant de s'approcher tranquillement de la porte. Bien sûr qu'elle était barrée, à quoi s'attendait-elle ? Pourquoi était-il ici ? Ça par exemple elle pouvait tenter de le savoir. "Pourquoi t'ont-ils fais ça, c'est horrible ?" son regard arpenta la pièce sombre avant de revenir sur l'homme, en quête de réponse. - juillet 2021;

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Jo & Jack

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Assis dans un coin de ma minuscule cellule, je grimace de douleur en essayant tant bien que mal de regarder l'étendu des dégâts. Une coupure longe mon bras gauche, faisant se rejoindre d'un trait épais mon poignet et le creux de mon coude. Ça saigne et c'est douloureux mais les Swans sont malins. En effet, la vilaine blessure n'est pas assez ouverte pour que je me vide de mon sang, elle n'est qu'une mise en garde supplémentaire sur mon corps meurtrit. En soulevant un peu mon t-shirt déchiré par leurs pratiques barbares et à moitié collé par le sang, je découvre de nouvelles brûlures sur mon ventre. Des marques fraîches qui se perdent au milieu de plus anciennes pour se rapprocher dangereusement de ma cicatrice encore toute neuve, celle de ma blessure par balle. Je les soupçonne d'ailleurs d'être l'auteur de cette balle prise en pleine mission. Non en fait, ce n'est pas un simple soupçon, c'est une certitude. Ils seraient prêts à tout pour nuire à mon groupe.

Un gémissement de douleur m'échappe alors que je tourne mon visage pour poser le regard sur une jeune femme. L'émotion qui traverse son visage face à mon état pitoyable a quelque chose de surprenant. Cependant, je ne me laisserai pas avoir. Si elle est ici, en pleine possession de sa liberté, c'est qu'elle est des leurs. Hors de question que je tombe dans le piège d'un visage innocence et doux comme le sien pour dévoiler ce qu'ils désirent tant savoir. Elle semble aimable, douée d'une profonde gentillesse mais le monde actuel rend fou, il vous transforme de la pire des manières, puisant au fond de votre âme la pourriture humaine cachée dans vos tripes. J'ai dû faire des choses horribles moi aussi, des actes qui ne me ressemblent guère. Cette jeune femme, c'est peut-être une excellente comédienne. "-Bonjour." Dis-je froidement, la voix tout de même tremblante à cause de la douleur qui ne me quitte plus depuis des jours. "-J'ai déjà dis à vos collègues que je ne parlerai pas. Inutile d'essayer de me piéger, je préfère mourir." Mourir avec honneur plutôt que de balancer pour sacrifier mes proches. Ce serait une belle mort.

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Que ce passait-il vraiment ici et surtout pour quel raison ? Elle croyait les Black Swans capable de bien des choses, mais c'était la première fois qu'elle le voyait de ses propres yeux, une tentative de prélèvement d'informations qui ne semblait pas du tout fonctionner. C'était presque une évidence que l'homme derrière ces barreaux allait croire qu'elle était avec eux, prête à user de son charme pour extirper ce qu'ils désiraient savoir, mais elle n'était pas du tout ici pour ça, car au contraire, elle ne comprenait toujours pas dans quoi elle venait de mettre les pieds. "Non... tu fais erreur. Je ne suis pas avec eux..." dit-elle d'une voix base, s'approchant des barreaux. Mais comment pouvait-elle lui prouver qu'il pouvait lui faire confiance ? Car il était certain que l'homme allait se méfier d'elle, peu importe ce qu'elle lui disait.

Au moment où elle était sur le point d'ouvrir la bouche, des bruits provenant de l'entrée se firent entendre, suivit de pas se dirigeant vers eux. Rapidement, Josephyne chercha du regard un endroit où se cacher, jetant son dévolu sur une étagère où elle alla aussitôt se faufiler derrière celle-ci. Un homme entra dans la pièce, balayant la pièce du regard avant de trouver ce qu'il semblait chercher. "Ah te voilà toi." Dit-il en s'empressant à aller chercher un bouquin qui se trouvait sur le coin d'un banc et rebroussa chemin vers la sortie. Vraiment ? Tout ça pour un bouquin ? Elle cru entendre un autre homme l'insulter, ce qui la fit légèrement rire.

Voyant que l'endroit était maintenant sûr, Josephyne s'extirpa de sa cachette, tout en portant une petite attention vers la sortie pour être certaine que tout était OK avant de se diriger à nouveau vers la cage où se trouvait le prisonnier. Sans vraiment s'occuper de lui, elle testa les barreaux, examinant leur solidité et cherchant une faiblesse dans ceux-ci. "Peu importe ce que tu peux penser, je ne suis pas avec eux... même si je vis ici, c'est contre mon gré. Si tu es toujours vivant, c'est certainement pour une raison..." Joe lâcha les barreaux en ne trouvant rien, reportant son attention sur l'homme. - juillet 2021;

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Pas avec eux ? Impossible. Elle n'a ni liens, ni entraves qui lui interdisent de se balader comme bon lui semble. Elle est avec eux, elle vit ici, dort entre leurs murs et mange la nourriture qu'ils lui offrent. Cette jeune femme n'a pas l'air bien méchante, c'est un fait mais en position de prisonnier, je ne peux me fier à son attitude. Il est hors de question que je me fasse avoir, pas après avoir résisté sous leur torture quotidienne. Et ça, elle semble le comprendre. Cependant je n'ai pas le temps de donner mon avis qu'elle s'enfuit pour se cacher derrière une étagère. Au même moment, des voix et des bruits de pas résonnent entre les murs de leur prison. Un homme arrive et s'empare avec fermeté d'un livre laissé à l'abandon sur un vieux banc. Un banc sur lequel ils viennent à tour de rôle surveiller la journée, c'est pour cette raison particulière que je ne peux pas faire confiance à cette femme. Pourquoi m'auraient-ils laissé seul aujourd'hui ? Pourquoi est-elle venue aussitôt ? Parce qu'elle est là pour surveiller les cellules, plus particulièrement la mienne et pour essayer de me faire parler. J'aimerais lui accorder un peu de sympathie, dévoiler ce pourquoi je suis ici et retrouver ma liberté grâce à son aide mais la méfiance est là.

La voilà qui quitte sa cachette minuscule pour se planter à nouveau devant les barreaux. Elle teste leur solidité après m'avoir assurée être coincée ici contre son gré. Mes sourcils se froncent davantage et c'est en grimaçant de douleur que je me rapproche un peu. La pénombre m'empêchait jusque là de voir une certaine crainte bercée son regard. Ne te fais pas avoir Jack, me souffle ma conscience. "-Ils ne me garderont pas vivant éternellement." Dis-je en faisant pression sur ma plaie pour faire en sorte que le sang cesse de couler. Je suis épuisé, presque affamé, je servirais bientôt de repas aux rôdeurs, c'est une certitude. "-Ils veulent des informations sur mon groupe et je ne dirais rien. Plutôt mourir." Je ne lui dévoile que les grandes lignes, sans donner de détails.

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Malheureusement pour elle, l'homme ne semblait toujours pas la croire et avec raison. Si elle était dans sa position, elle en ferait certainement autant que lui et même plus. Comment arriver à faire confiance à qui que ce soit lorsqu'on était enfermé dans une cage tel un animal de cirque ? Lorsque Josephyne s'attarda sur les barreaux de sa prison, elle pu déceler une pointe de d'interrogation sur son visage, mais sans plus. Il fallait qu'elle se force pour trouver un moyen pour qu'il ait moindrement confiance en elle, mais comment ? C'était presque impossible, surtout après autant de temps à se faire malmener pour des réponses qu'il ne voulait surtout pas divulguer aussi facilement. La mort sera certainement sa seule issue si elle ne faisait pas quoique ce soit pour lui.

Ces barreaux étaient solidement soudé les uns aux autres et c'était peine perdu d'essayer d'en forcer un, déjà qu'elle n'avait aucunement la force pour ce genre de tâche. Lâchant un long et bruyant soupire, elle se recula de quelques pas avant de porter une nouvelle fois son attention sur l'homme mal en point. Ils ne l'avaient pas ménagé, voyant toujours ce sang sortir de sa blessure. Arpentant la pièce avec attention, elle trouva un vieux chiffon sur le sol qu'elle lui apporta aussitôt. C'était peut-être pas le bout de tissue le plus propre, mais cela allait certainement l'aider à stopper le sang. Passant son bras entre les barreaux, elle insista pour qu'il le prenne. "Ça va t'aider, t'en a de besoin." La belle attendit qu'il agisse avant de se remettre à parler doucement. "Je sais que tu ne me fais pas confiance et je te comprends. Qu'est-ce qui pourrais te faire changer d'idée ?" De son côté elle réfléchit avant d'ajouter d'un ton plus calme : "Il y a un an, moi et mon groupe nous nous sommes fait attaquer par ces monstres. Ils étaient sans pitié dès l'instant que j'ai posé les yeux sur eux. Ils s'en sont prit à un couple de personnes âgées qui n'avaient rien demandé de tout ça, les assassinant avec froideur tout en me regardant dans les yeux. J'ai tout vu et j'ai souhaité mourir à leur place, mais ils m'ont pris et amené ici, dans cette arène barbare. J'en ai bavé et j'en ai mangé des coups, priant que tout s'achèvent et que je puisse me reposer enfin. Mais ils ont décidé de me garder, me transformant en esclave pour nettoyer les chiottes." Elle prit une pause, son regard le fixant avec attention. "En fin de compte, toi et moi nous ne sommes pas si différent que ça... à la différence près que mon groupe n'était pas assez fort comparé au tiens." - juillet 2021;

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L'inconnue cesse de s'attarder sur les barreaux qui me retiennent pour poser son regard sur un vieux morceau de tissu. Elle me le tend et j'hésite quelques secondes, pesant le pour et le contre, avant de me rapprocher pour m'en emparer. Il doit y avoir des tas de bactéries et autres microbes néfastes là-dessus, peut-être même que l'un d'eux aura raison de moi mais je suis bien forcé d'admettre que je saigne beaucoup et que je dois arrêter cela. Je presse donc le tissus contre ma vilaine plaie, grimaçant de douleur mais sans me plaindre davantage. "-Merci." Dis-je simplement car la politesse a toujours fait partit de ma personne, même après que la fin du monde nous soit tombée dessus.

La jeune femme fait tout pour me faire changer d'avis, allant même jusqu'à me divulguer le comment du pourquoi elle se trouve ici, au sein du groupe des Black Swans. Je ne sais pas si je devrais la croire, n'importe qui ne l'aurait sans doute pas fait d'ailleurs mais je peux lire dans son regard une lueur profonde de vérité. Je reste tout de même sur la défensive lorsqu'elle admet ne pas être si différente de moi. "-Avez-vous des enfants ?" Je demande en me faisant un peu plus doux qu'auparavant. J'espère qu'elle comprendra où je veux en venir car cette question n'est pas anodine. Je ferais certes tout pour protéger ma femme et mon frère en revanche, je ferais bien plus que cela pour veiller à la protection de mes deux filles. Elles sont un trésor que la vie m'a offert à deux reprises, à deux moments différents et je serais prêt à n'importe quoi pour les protéger, quitte à sacrifier ma propre vie. "-Je ne peux pas me permettre de mettre en danger mes filles. Si vous tenez vraiment à m'aider, alors faites moi sortir d'ici. Il n'y a que comme ça que je pourrais vous croire."

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Elle avait réussi à gagner une part de sa confiance, se voyant par ce changement d'attitude envers elle qui se fit plus doux et reconnaissant. La belle hocha simplement la tête face à son remerciement, se forçant un sourire malgré la situation. Ce dernier disparu assez rapidement alors qu'il se mit à finalement parler, lui demandant si elle avait des enfants. Le coeur de Josephyne se serra si fort qu'elle se croyait perdre conscience d'un moment à un autre, se retenant aux barreaux de la cellule. Cette douleur était toujours bien présente en elle, ce souvenir d'avoir porté cet être en elle, le fruit d'un amour qui lui manquait tout autant. Elle resta un instant silencieuse, baissant légèrement la tête pour observer ses pieds qui jouaient avec un cailloux. Elle l'écouta lui raconter qu'il n'allait rien dire pour protéger ses filles et elle le comprit amplement. Elle aurait fait pareil avec le sien, prête à tuer malgré qu'elle était contre toute violence. "J'avais un enfant, mais... mais ils me l'ont arraché avant même que je puisse le voir grandir en moi..." la tête toujours base, une larme glissa le long de sa joue pour s'échouer sur le bout de sa chaussure. Elle avait toujours eut du mal à en parler, encore aujourd'hui. Si elle devait un jour revoir Abel, ça serait certainement les pires émotions qu'elle allait ressentir. Lorsqu'il lui demanda de l'aider à sortir d'ici, lui offrant ainsi cette preuve de confiance, elle ne savait pas comment elle devait lui dire, ni même si elle pouvait lui promettre une tel chose. Relevant le regard vers le sien, elle le fixa avec attention, réfléchissant. "Je sais pas comment je vais arriver à te sortir d'ici, mais je ferrais tout pour y parvenir." Ce qu'elle ne savait pas aujourd'hui, c'est que la semaine suivante elle allait retrouver son amour et qu'elle allait lui parler de ce prisonnier. "Moi c'est Josephyne..." dit-elle en tendant la main entre les barreaux en signe de salutation. Si elle devait tenter quoique ce soit pour le sortir d'ici, des présentations étaient certainement de mises. - juillet 2021;

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(#) Sujet: Re: Pretty much dead already • Josephyne

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